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Poème à l'Amour.
Toi tu es l'Amour et moi...je suis la vague qui voudrait te
bercer sur des flots de tendresse...je suis le vent, ce doux vent de la mer
qui entre deux vagues, viendrait dissiper tes larmes, ta tristesse
et ta solitude.
Un rayon de soleil viendrait traverser l'éternité pour illuminer
ton doux visage où on pourrait y voir danser toute la symphonie de
la beauté inachevée.
Quand deux solitudes se rencontrent, elles se reconnaissent et ne
peuvent se mentir...malgré ce sourire qui semble percer toutes les certitudes,
le coeur est parfois d'une tristesse à fendre l'Ame...il devient de glace et un
vent de solitude y fait givrer la neige du désespoir.
Mon coeur est l'amant de toutes ces femmes qui sans me parler,
me confient à travers la tristesse de leurs regards, l'immense solitude
de toute une vie où l'Amour est prisonnier entre deux rives...leur navire
a fait naufrage sur des vagues de trahisons bien avant d'atteindre
l'Ile du Bonheur.
Et moi...je suis le poète qui voudrait que ton visage soit plus
éclatant qu'un coucher de soleil et que tes yeux étoilés soient plus brillants
qu'un clair de lune tellement il y aurait d'Amour pour les illuminer
et que ta bouche entrouverte, y laisserait pénétrer la brise du soir ou
tu pourrais t'abreuver de chaque instant de bonheur et nos corps brûlants,
enflammés, sauraient garder la flamme éveillée et nous aurions pour
seule couverture...la flamme de notre Amour.
Auteur : Robair.Protégé par Droits D'auteur
CORINE
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Rêve de nuit
Sur ma terne vie
Fleurie par les rêves
d'infinie tendresse
Se pointe comme jeunesse
la volupté de l'amour
à laquelle j'espère toujoursSans me limiter
aux ardents tête-à-tête,
Je nourris appuyé l'un à l'autre
Nos besoins d'intimité.
Je découvre par notre confiance
que l'on peut vaincre
et défier sans efforts....
La souffrance
les heurts et les larmesEt je rêve! Je rêve
Que les doux baisers de la nuit
plus chaud et plus câlins
Succèdent à ceux du jour.
Que nos nuits sont lumineuses
et aussi brûlantes que celles de
notre tendre jeunesse.Toujours bercé par le rêve
J'ai vu ton corps ardent
Plus doux qu'un rayon de lune
Et plus chaud que le soleil d'été.
J'ai vu tes seins se gonfler
de désirs et de rêves.
J'ai vu mes lèvres se brûler
à les parcourir sans répit
J'ai vu mes mains te caresser
sans trêve, sans se lasser
Et j'ai vu et revu l'offrande
la plus précieuse, celle de toi-mêmeEt je rêve! Je rêve....
Que la joie et la gaieté
fusent de toute part.
Que de beaux mots d'amour
susurrés à nos oreilles.
Dans cette étreinte sans pareil
qui ne peut être brève.
De la force de nos pensées
éloigner l'aurore du jour
Le temps de nous épuiser
A vivre ces beaux joursEt je rêve! je rêve
Qu'ils se réalise ce rêve
Je t'espérais, je t'attends
Et qu'étroitement unis
sans pouvoir se quitter.
Voir monter notre amour
comme une lune argenté
qui se revêt de chaleur
de désir et de sève
pour devenir ardent soleil d'été.Bertino le Pascalois
http://chatalarose.centerblog.net/
BISOUS
CORINE
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Jour après jour
Un autre jour se réveille
Mes pensées se tournent vers toi
Jour après jour, je demeure fidèle
A cet amour qui ne connaît pas de loi
Quel est donc cette obsession
Que je ne peux maîtriser?
Est-ce la faiblesse de ma raison ?
Qui me fait tant aimer?
Mon être à tant soif de toi
Mon ventre se grise de désir
Mon âme vagabonde vers toi
Je me glisse dans ce plaisir
Quand sur moi le soir descend
Ma voix et mes yeux se troublent
Je sens battre en moi le sang
Ma douleur revient et se double
La nuit s'installe, elle revient
Je reste là, .....plein d'espoir
L'insomnie brise les liens
Comme je peux t'aimer dans le noirAUTEUR : BERTINO LE PASCALOIS
CORINE
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Aujourd'hui, je n'ai pas le goût d'écrire. Je suis en "olibrius" et je désire peupler le désert de mes rêves.
Voici donc une réflexion trouvé sur le net qui est loin d'être funambulesque.Bertino Le Pascalois
bertinolepascalois.centerblog.net
Rire, c'est risquer de paraître idiot.
Pleurer, c'est risquer de paraître fragile.
Aller vers quelqu'un, c'est risquer de s'engager.
Exposer ses sentiments, c'est risquer d'exposer son moi profond.
Présenter ses idées, ses rêves, c'est risquer de ne pas être compris.
Aimer, c'est risquer de ne pas être aimé en retour.
Vivre, c'est risquer de mourir.
Espérer, c'est risquer de désespérer.
Essayer, c'est risquer d'échouer.Mais, le plus grand danger dans la vie,
c'est de ne rien risquer du tout.
Car celui qui ne risque rien ne fait rien,
n'a rien,n'est rien.
Il peut éviter la souffrance et la tristesse mais il n'apprend rien,ne ressent rien,
ne peut ni changer, ni se développer,
ne peut ni aimer, ni vivre.
Enchaîné par sa certitude, il devient esclave, il abandonne sa liberté.
Seuls ceux qui risquent sont libres.http://chatalarose.centerblog.net/
CORINE
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